Après l’épidémie, le marché devrait s’ajuster à la solvabilité dégradée des ménages qui risquent de retarder leur projet d’achat. Il sera difficile de vendre et les prix devraient s’en ressentir.
Cette baisse des prix serait, en même temps, la condition d’une reprise des transactions immobilières.
Sans surprise, l’impact devrait être moins important pour les zones économiques les plus attractives. Une étude menée par le portail immobilier américain Zillow, portant notamment sur les conséquences de l’épidémie de SRAS sur le marché résidentiel de Hong Kong, a en effet montré que les prix n’avaient pas connu de baisse significative malgré la chute du volume des transactions immobilières durant la crise sanitaire, volume revenu à la normale à la fin de l’épidémie.
Tous les espoirs sont permis.