La plateforme a signé une convention avec Century 21 ajoutant aux contrats de location parisiens, une clause permettant au locataire de sous-louer sa résidence principale. L’accord prévoit que le locataire conservera 70 % des revenus perçus, le propriétaire, 23 %, et l’agence immobilière, 7 %.
En dehors de la rentabilité de l’opération, cette autorisation de sous-location a l’avantage de « sécuriser » l’investissement, tant au niveau du paiement, que de l’entretien du logement.
En pratique, les agences proposent à leurs clients de signer un avenant au contrat de location, aux termes duquel « le bailleur autorise le locataire à sous-louer tout ou partie des lieux qui l’occupe ». Cette permission s’inscrit dans le cadre de la réglementation en vigueur. Elle est donnée pour une durée maximale de 120 jours par an.
Interrogé la semaine dernière dans les colonnes du Parisien, le premier propriétaire signataire d’un tel avenant, déclarait : « J’apprécie que la sous-location se fasse, non pas clandestinement mais en toute transparence ». Quant à sa locataire, jeune informaticienne de 26 ans, elle profite de la sous-location de son studio, pendant trois semaines cet été, pour partir en vacances au Maroc, à la Rochelle, puis dans les Pouilles, tout en ayant la garantie d’avoir une partie ses loyers payés ...
Source : Conseils des Notaires @Publinot